Parti socialiste, l'ivresse du renoncement.

Publié le par DAN

sarko hollande

Ni l'un Ni l'autre !

 

Didier bigot du libéralisme ?

Hier je lisais les déclarations d'un trou du cul de sénateur socialiste, Didier Migaud, l'un de ceux qui s'engraissent de la dépense publique sans plus d'état d'âme. Voilà notre bigot du libéralisme, Président de la Cour des comptes, qui se verrait bien vous enterrer dans les sables du capitalisme, à la manière de qui vous savez, au terme d'un long chômage histoire de vous faire cracher et vos dernières économies et votre bulletin de naissance. Cet homme est un grand criminel !

Devrons nous nous laisser tenter par davantage de dé-régulation et "taxer" les riches ? l'hypothèse, aussi choquante qu'elle puisse apparaître, pourrait bien être la seule solution à la crise d'apoplexie des capitalistes ; ce pour quoi déjà les médecins de Molière recommandait, "la petite saignée amiable". 

Soyons classique faute d'être subversif comme le sont déjà, de trop, nos libéraux.  snoopyberet

 

"Didier Migaud, premier Président de la Cour des comptes, était l’invité du 19h, mardi sur Public Sénat. Interrogé sur la réforme des retraites, le socialiste a pris des distances avec son parti, qui souhaite le retour à la retraite à 60 ans. «La réforme était indispensable, elle est indispensable. La France est confrontée à la même situation que dans beaucoup d’autres pays, à savoir une augmentation de la durée de vie donc ça pose un certain nombre de défis et chaque pays doit pouvoir bien évidemment en tirer toutes les conséquences », a-t-il affirmé.

« Les régimes sont déséquilibrés donc il faut bien évidemment une réforme. Une réforme a été prise, elle ne garantit pas d’ailleurs l’équilibre absolu en 2018. Il est vraisemblable oui qu’il faudra aller plus loin demain », ajoute même Didier Migaud. Repousser l’âge légal de départ ? « Il y a plusieurs leviers possibles mais tous doivent être utilisés », affirme-t-il.

Interrogé sur les hypothèses de croissance, Didier Migaud affirme que le gouvernement doit « réviser ses hypothèses de croissance» « dans les délais les plus rapprochés possibles. (…) C’est une question de crédibilité ». Actuellement, le gouvernement table sur une croissance de 1,75% en 2012. « Il n'est pas raisonnable d'en rester à cette hypothèse de croissance », a-t-il ajouté, alors qu'une révision à la baisse semble inéluctable.

Sur les finances publiques, « il y a un certain nombre de mesures qui ont été prises mais qui ne sont pas suffisantes », a-t-il jugé, estimant qu'« il faut agir sur la dépense et également sur les recettes ». « La Cour ne propose pas une réduction de la dépense publique, nous disons qu'il faut ralentir l'augmentation de la dépense », a-t-il précisé. « Nous croyons qu'il y a de vraies marges de manœuvre sur les niches fiscales comme sur les niches sociales », a-t-il ajouté, qualifiant notamment le déficit de la Sécurité sociale de « véritable poison ». [PUBLIC SENAT 25 Octobre 2011]

  guignol François Hollande - On achève bien les retraites !
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