La nationalisation d'une banque -Dexia- ou la fin du "miracle" libéral.

 

Quand la merde déborde des couches culottes.

Heureusement qu'il y a les "primaires socialisses" pour détourner l'attention d'une nationalisation discrète d'une grand banque franco-belge. Encore que les Belges ont une excuse, ils n'avaient pas de gouvernement .. et nous si peu, juste des communicants et des instituts de sondage, quelques analystes politiques, tout un monde au bord de la faillite.

DEXIA, une des privatisations conduites sous les alternances successives de droite comme de gauche à l'époque du miracle boursier, de grands noms à la manoeuvre comme Rocard ou Baladur et Juppé (la rédemption) et aujourd'hui après quelques centaines de milliards jetés aux spéculateurs, discrètement, le retour au service public, le Crédit Local CDC !

30 ans et des milliards de perdu et des emplois privés de financement comme dans les hôpitaux (15.000 emplois d'infirmières dit on) ou encore de logements sociaux. La complicité de gestionnaires des deniers publics incompétents comme à Lyon, la griserie de la spéculation avec l'argent public.

Bien sur aucune sanction contre les dirigeants, contre l'oligarchie, pas même une réduction de salaire (1,8 Million pour le directeur de DEXIA, une retraite dorée pour son fondateur) vous serez les cochons de payeurs, ces cons qui pensent "tous pourris"  .. trop discrètement encore.