| Jean Sarkozy est le fils de .. il n'y a la non plus nul motif à reproche, la république est bananière - ainsi un jeune dictateur Africain - la chose étant récente pour lui - se disait "le frère de ..". Il y a l'épouse(s) aussi et même quelques "ministres de .." -que l'on reconnait à la récente "trahison" du "camp d'en face", qui n'en est pas nécessairement "l'opposé"-. Et dans ce jeu des "cents familles" il y a aussi "l'ennemi mortel". Et puis encore, le Joker, "le conseiller de ..".
Enfin, quelques raisons d'oublier la crise et de meubler la télévision numérique dont je m'interroge encore de la curieuse dénomination, "TNT".
"TNT"- L'espoir d'une "nobelisation" ? |
Quand Mélanchon fait la leçon ..
 | Monsieur Mélanchon aime faire la leçon, mais il importe que toute leçon comporte une part de vérité.
Je conçois que Monsieur Mélanchon ne fasse pas grand cas du statut de ministre de Frédéric Mitterand, dont le patronyme serait selon ses dires l'unique motif de cette fonction - ce qui n'est pas la vérité mais sans doute l'essentiel d'un fait qui blesse Monsieur Mélanchon.
C'est à ce statut de Ministre, de représentant de la République et du peuple français, à son intervention dans l'affaire Polanski autant qu'à son roman autobiographique et à l'implication d'une institution de la France -La Villa Médicis- dans une affaire privée que Monsieur Mitterand doit la polémique dont il se défend aujourd'hui par des menaces de poursuites judiciaires.
Monsieur le Ministre doit des comptes à la Nation, est ce encore compréhensible pour un membre de l'oligarchie de gauche ?
Admettons; il est dure "d'exister", de faire parler de soi en politique.
Dure d'attirer l'attention des médias.
Un milieu où certains mobilisent à celà des moyens considérables, -ceux de l'Etat ou de l'industrie et parfois les deux-;
ce qui, en l'absence, conduit parfois aux positions les plus extrèmes -ou les plus "fantaisistes"-.
Monsieur Mélanchon s'était ainsi déjà signalé en approuvant l'invasion militaire du tibet - le génocide aussi ?
Bien se laver les mains, aussi. |
