G. Collomb, la fiscalité locale et l'indemnisation des élus.
Que je sois bien compris, je n'avais pas l'intention ici de remettre en cause les rémunérations des élus en charge de la gestion des collectivités, ce qu'il y a de choquant dans cette affaire de l'indemnisation des personnalités en charge de la gestion du Grand Lyon, c'est le manque de transparence qui débute déjà par l'absence d'élection. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| L'ardoise sera salée, ce n'est pas de 6% mais bien de 8% que vos impôts locaux seront majorés soit 6% pour le taux auquels s'ajouteront 2% résultant des changements d'assiette. | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| C'était sur la Cinq ("C dans l'air") le 8 Avril 2009. | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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xxxxxxxxxxxxx Lyon People | Deux remarques, les non imposables, les pauvres et "les suisses", mis à part les populations modestes vont continuer de fuir vers les banlieues et si la population lyonnaise augmente (+30000 annoncé pour Lyon), à l'évidence des quartiers, autrefois populaires, deviennent des réserves à "Bobo" (Croix Rousse). Ce qui inquiete dans le "Grand Lyon", ce n'est pas le nombre de vice-président (à 2700 euros par mois cumulables) ou le coût de celà, ni même le pouvoir exercé par la concentration fiscale (Taxe professionnelle, services) mais l'absence d'élection à cette institution qui concentre davantage de moyens et de pouvoir que le Département. Le 8 Mai 2009 MEMOIRE Le conseil municipal de Lyon s'apprête à voter, vendredi 13 juillet, une délibération hallucinante bien que parfaitement légale. Celle-ci porte sur les indemnités du premier adjoint de la ville, Jean-Louis Touraine (PS). Explications. Fraîchement élu député de Lyon, Jean-Louis Touraine est un cumulard : député et premier adjoint, donc, mais aussi conseiller général et vice-président au Grand Lyon. L'élu est du coup logiquement frappé par la loi sur le cumul des mandats et, par conséquent, par un trop perçu d'indemnités. Plus de 3 000 euros reversés chaque mois à un proche Une telle pratique est autorisée par une texte d'avril 1952 qui permet à un élu concerné par l’écrêtement de désigner, à son gré, les bénéficiaires - à condition que ce soit un élu de la même assemblée - du reversement de la part qui dépasse. Une drôle de façon de gérer l'argent public qui a d'ailleurs récemment fait tousser la Cour des comptes. Si l'on résume : un élu du 8e arrondissement va toucher de l'argent du contribuable pour un travail (celui de premier adjoint) qu'il n'effectuera pas. Chapeau. " Tribune de Lyon 10 Juillet 2007 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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