Vieilles canailles, petits riens et autres restes dans l'actualité.

LE DESORDRE C'EST LA VIE !	C'est inédit, le juge des référés du tribunal de Grande Instance de Lyon a estimé, jeudi dernier, que les ouvrières de Lejaby avaient le droit de bloquer le siège de leur entreprise à Rillieux-la-Pape. Les salariés, qui seront licenciées mi-novembre, étaient alors en pleine négociation avec leur direction. Elles ont bloqué l'accès des camions au siège de leur entreprise pendant treize jours pour faire pression sur leur direction. La direction les avaient attaquées en justice pour obtenir la levée du camp. Elle a été débouté le 30 septembre par le juge. -LyonCapitale
"Quand Le Pen rencontre Tapie", avouez que le titre a quelque chose de l'accroche d'une série sentimentale et que l'on imagine assez, mais jamais completement, le nombre de mensonges et de vilainies que les deux comperes auraient echangé. Nous sommes au théatre et voilà que déjà à l'acte suivant vient "le temps des démissions", Morin, Kouchner et pourquoi pas Martin (pas l'âne, l'autre, le mulet) déjà se pressent derriere le rideau, trahissant une impatience de jeunes premières. Ils auront deux années pour nous faire croire qu'ils sont des hommes nouveaux et rallier le centre droit et le centre mou aux "cent jours" hypothétiques de leur petit caporal. Le temps de la rédemption ? Laissons donc Carla faire les ouvreuses d'un vieux realisateur radotant ses vieux films. La vie, elle beguaye ici et là, sur la chaussée, dans le desordre d'un hopital, avec les canuts de Lejaby ou sur le port de Marseille, elle beguaye à Athenes, à Madrid, à Lisbonne et dans un pub irlandais - laissez là le theatre, ses acteurs mal grimés, la vie est dans la rue.
Pendant que d'autres menacent impunement les Gens du voyage .. "Un habitant du Lot-et-Garonne a été condamné mercredi à un stage de citoyenneté pour avoir menacé par téléphone le président Nicolas Sarkozy avant un déplacement dans l'Aveyron en juillet dernier, a-t-on appris de source judiciaire." L'Express 06/09/10