G. Freche - Une illustration des dérives de l'oligarchie politique.
On aurait tort de considérer que G. Freche est un marginal en politique, dans le cas relevé ici des harkis, il n'y a au fond aucune différence, sinon d'expression, entre Freche et Bussereau - Comme au plan de la démocratie locale rien qui ne différencie G. Freche de G. Collomb. Ce sont donc bien davantage les outrances qui genent dans ce que cette caricature montre du féodalisme ou se trouve la France tenue par de petits hobereaux. | |
Pour sourire de l'ancien "Mao" Georges Freche, Mai 68. | |
PARIS - Le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, tête de liste UMP en Poitou-Charentes, a présenté jeudi ses excuses pour avoir comparé à des "harkis" les centristes que la socialiste Ségolène Royal a ralliés à sa cause dans la région." L'Express.fr 05/02/10. | "La provocation serait-elle une manière de faire de la politique? On peut le penser quand on suit le parcours de Georges Frêche. Cet universitaire de renom, spécialiste en histoire du droit romain, qui a dirigé Montpellier pendant près de 30 ans, a en effet érigé en art les petites phrases assassines. En 2007, il avait été exclu du PS pour avoir qualifié les harkis de «sous-hommes» et déploré le trop grand nombre de «Blacks» dans l'équipe de France. Cette fois, c'est la «tronche pas très catholique» de Laurent Fabius qui l'a remis au centre d'une polémique nationale." Le Telegramme.com 06/02/10 |