M. Rocard, l'homme qui parle à l'oreille des pingouins (maj).

Publié le par DAN



Michel Rocard
 fait des "ménages"

L'homme vit aujourd'hui d'une modeste retraite de 11.000 € mensuel qui fut le président du "premier parti révolutionnaire d'europe" (Psu) avant de se "convertir" au libéralisme.
Inspecteur des Impôts, il montra son talent en instaurant la Csg et en assurant la promotion de "la taxe carbonne".

Pionnier du "social libéralisme", il ouvrit la voie au P. Lamy (Omc) et autre Strauss-Khan (Fmi).
Il mêne aujourd'hui une retraite active défiant les lois de la crise économique. Modestement rémunéré pour ses fonctions gouvernementales sur l'avenir des Pôles, il assure par des conférences (10.000 € hors frais de traducteurs) lors de croisières en Arctique , ou au Groenland (à bord du "Diamant"), la mise en valeur de ses savoirs. 
Quand au bilan carbonne de ces croisières, de leur effet sur l'environnement, rien n'est communiqué.

Lire aussi : Taxe carbonne, une fiscalité à l'avantage des plus riches. 
 

 Prochainement :
"ROCKY" SUPER-STAR
vend l'emprunt ! 
 

  "Rocky"  chez "Lyon Capitale"

Monsieur Rocard serait il atteint de cette maladie, alzheimer, sans quoi la vie politique serait impossible ?



En Avril 2009, et donc à quelques semaines des élections européennes, Michel Rocard accorde un long entretien à LYON CAPITALE et comme il s'inquiête de l'état de la démocratie, l'espoir était permis de trouver là un bilan de son mandat européen.

Non, celà eut sans doute été une concession au populisme et notre "maître" d'epiloguer longuement, pour s'en plaindre, sur le rôle de la télévision dans la vie politique.

là il convient de comprendre que la technologie, le média, eut raison, bien plus que Mitterand, de ses ambitions politiques, y compris présidentielles.

Et de voir là le signe le plus évident d'un long déclin de la démocratie, de la civilisation !

Car le gaillard n'est guère modeste et encore doit on penser que ses ennuis de santé l'ont diminué.  

Faut il en conclure que Michel Rocard eut fait son affaire d'une domination des médias radios, de la presse papier ?

Si l'histoire et sa carrière politique permettent d'en douter, l'entretien n'aborde pas non plus cette étape du développement technologique et n'offre donc pas un bilan de ses déconvenues passées.

Mais sans doute devons nous à "l'extrême intelligence" dont il gratifie Nicolas Sarkosy cette nouvelle nuisance imposée aux inuits, ou peut être son expérience des "manchots" du Parti socialiste ? le voilà "ambassadeur à la négociation internationale sur les pôles"

L'inoubliable "inventeur" de la CSG, cette cotisation sociale à la charge exclusive du salarié, aurait il oublié qu'il fut Premier Ministre ? et auparavant l'un des derniers ministres du Plan, se souvient on même qu'il existat un tel ministère au sein de gouvernements qui conservaient des ambitions pour la France ?

C'est le style sans emphase que l'on affectionne, à propos de la dérégulation à l'oeuvre dès 1971, "C'est une faute intellectuelle planétaire. Elle arrangeait des gens : moins il y a de règles, plus on s'enrichit facilement." Une faute à la hauteur de F. Mitterand peut être ?

Car c'est bien sous son ministère que furent privatisées banques  et industries, des secteurs stratégiques au regard des enjeux économiques qu'écologiques voir la Bourse remise au goût du jour.

D'où aujourd'hui l'illusoire perspective de réformer le capitalisme, et des perspectives que l'on se risquerait à partager, bien malgré nous : "Le déclin, celà existe. Les échecs de civilisation, cela existe dans l'histoire humaine .. l'enjeu n'est pas petit."

Mais nos hommes politiques, oui, qui au chomage et à la fermeture des industries n'ont d'autres propositions que l'assistanat généralisé (le Rmi-RSA et les "emplois potemkine"). 

"Rocky" met fin aux violences en Nouvelle Calédonie ! (a)

"Second gouvernement Rocard le 26 juin 1988. Ce même jour, Michel Rocard fait signer les accords de Matignon entérinant les droits  à l’auto détermination de la Nouvelle-Calédonie et mettant fin aux violences sur l’île.
Il instaure également
le RMI le 12 octobre 1988, qui constitue l’un des rares projets de loi votés à l'Assemblée sans une seule voix d’opposition."

Pierre BEREGOVOY, 
Mai 1988 - Mai 1991 : ministre d’État, ministre de l’Économie, des Finances et de l'Industrie dans le gouvernement Michel Rocard. Converti à l’économie de marché, Pierre Bérégovoy s’attache à *stabiliser le franc (« politique du franc fort »), afin de faire baisser l’inflation, ainsi qu’à libéraliser les marchés financiers et à moderniser la Bourse. Cette politique lui vaut une réputation de gestionnaire compétent auprès des milieux d’affaires. (source Wikipedia)

(a) Information vigoureusement démentie par l'USTKE
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Publié dans OLIGARCHIE

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