L'Islam premier facteur d'islamophobie ! .. ou de la dé-Raison.

Publié le par DAN

Laissez moi vous dire tout d'abord mon attendrissement - tous "ces bouffeurs de curés" soudainement convertis à la défense de l'Islam, c'est mieux qu'une convertion.
Voltaire à la poubelle - et pas seulement, les petits enfants de Rousseau trainés dans la boue, mis en devoir de s'expliquer devant la "Cour Européenne de Justice".

Ce n'est pas qu'une convertion, c'est une contre-révolution !

Pourtant, la construction de l'islamophobie, l'Islam s'en charge sans qu'il soit besoin des Suisses.
Et pas seulement les Suisses, les uns parce qu'ils n'aimaient pas le voile, les autres la burka, ces derniers les minarets, l'humanisme des lapidations, répudiations et autres crimes d'honneurs, la maltraitance des femmes et filles, les séquestrations, l'excision, la polygamie. L'intolérance religieuse de l'Arabie Saoudite, des Emirats arabes et autres, financeurs de la construction des mosquées et minarets - et le Djihad - cet autre nom du terrorisme.

Je ne parlerais pas des conditions barbares, d'une cruauté aujourd'hui injustiable, d'égorgement rituel des animaux.

Et voilà ceux qui s'enflammaient au nom du droit à l'incontinance sexuelle - bouffeurs de curaillons - sont a genoux devant Mahomet et ses prophètes, la peur ! Il n'y a pas d'autres raisons.

C'est sans doute "dur d'être aimé par des cons" - c'est bien plus dramatique encore de les encourager à poursuivre dans ce chemin.

PUBLIE :

La journée sans immigrés, la Suisse sans minaret, l'Italie sans crucifix, la France sans burqa..

Mariage gris - Scène de ménage, charter et répudiation après le tourisme sexuel.

Suisse, les travailleurs frontaliers français victimes de xénophobie ?

De la liberté d'expression, à propos de la burka.

"DUR D'ETRE AIME PAR DES CONS !"

 "... Cela dit, la question des minarets s'inscrit dans une dynamique plus large. On la retrouve aussi en France, avec le débat sur l'interdiction de la burqa. La nouveauté de ces mobilisations est qu'elles se font sur la visibilité de l'islam et sur la dimension idéologique de cette religion. L'Union démocratique fédérale, qui est l'expression des évangéliques en Suisse, défend le côté chrétien du pays ; à leurs yeux, l'islam ne représente pas une menace en termes d'immigration, - même si la population musulmane connaît une croissance rapide, avec 400 000 personnes et 5 % de la population - mais porte le risque d'un clash des religions. D'ailleurs, que ce soit en France avec 367 burqas ou en Suisse avec quatre minarets, on est bien dans des logiques de combat symbolique plus que sur des problèmes touchant la société réelle..."

Patrick Haenni, repris par "Les Manants du Roi"

 

la députée socialiste à la Chambre du peuple Ada Marra a aussi dit craindre des effets sur les liens de la Suisse avec l'étranger et peut-être sur le sort des otages suisses en Libye.


 

La Suisse compterait près de 400 000 musulmans pour une population totale d'environ 7,6 millions, soit au moins 5% de sa population, ce, selon une estimation de la Fédération d'organisations islamiques de Suisse (FOIS), sur la base du dernier recensement de la population réalisé en 2000. A l'époque, on dénombrait environ 311.000 musulmans. Mais tout Suisse qui remonterait dans le temps découvrirait que dans les années 70 du siècle d’avant les musulmans étaient moins de 20 000, et qu’ils passaient la barre des 150 000 en 1990… Et qu’au jour de la fameuse « votation » l’islam était la deuxième religion de Suisse…

Population urbaine, principalement établie dans les grandes villes (plus de 70%) et fortement implantée en Suisse « allemande » (+de 75%), la communauté musulmane dispose aujourd’hui de près de 150 lieux de prières dont 4 mosquées avec minarets…

Communauté « éclatée », la communauté musulmane connaît maintes rivalités entre les « centres officiels » comme la « Fondation » sise à Genève et financée par l’Arabie saoudite, la « Stiftung islamiche gemeinschaft » de Zurich, financée par les Emirats arabes, ou ceux contrôlés par le Dyanet (Ministère des cultes –Turquie) ou ceux du Milli Görush (parti islamiste d’opposition-Turquie), sans oublier  ceux des « Frères musulmans » ou les « piétistes » du Tabligh.

Pour le ministre de la Justice Madame Eveline Widmer-Schlumpf, le nouvel article constitutionnel approuvé par les citoyens ne vise que la construction de nouveaux minarets et ne constitue pas l'expression d'un rejet de la communauté musulmane, de sa religion ou de sa culture. Le Conseil fédéral s'y engagera. Et d'ajouter que la paix religieuse est un élément essentiel du modèle qui a fait le succès de la Suisse. Le dialogue entre les groupes religieux et sociaux et les autorités doit se poursuivre et se renforcer.

Portemont - Les Manants du Roi - (extraits)

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