LYON - Collomb préfère Freche ou Besson ? - Rivalta jaloux.

	Oh, ce n'est qu'une interrogation, mais depuis son diner en tête à tête avec Sarkozy - celui qui s'apprête à "casser" l'Hotel Dieu de Lyon multiplie les fréquentations les plus hasardeuses - pour rester correct - et après Besson et Frêche, on imagine les jalousies au Grand Lyon, chez les Rivalta, Buna et autres joueurs de pipeaux. Dur d'être le vassal d'un si fourbe baron.
	Je voudrais cependant en profiter pour exposer ici un point important en science politique, résultat de mes observations dans le champ de la psychologie sociale, des inter-actions. J'observe ainsi que parfois mon chat me leche la main, mais que de semblable manière il se leche aussi le cul, - avant ou après me demanderez vous en fins spécialistes des choses de ce monde ? Enfin, si celà peut servir à l'édification des élites républicaines, voyez de qui Collomb leche les mains.  Mais l'essentiel au fond est de n'agir ni comme mon chat ni comme l'oligarchie.
PUBLIE Freche, Collomb - La révolte des grands féodaux (gauche pestilentielle). G. Freche - Une illustration des dérives de l'oligarchie politique. Collomb à tous les rateliers (avec Besson au diner du Crif)