L'élection à la Présidence du territoire français de l'Union européenne ne manque pas de rebondissements, de quoi mettre en valeur l'art des politologues et même des amuseurs sévissant à part égale sur les médias Tv. Echaudé par 2002 et pour ne pas à plus avoir à organiser de débats politique, le Parti socialiste avait donc abandonné le choix de son candidat à une "sous farce électorale",une sorte de piège à cons spécialisé pour la Gôche. Les sondages confirmaient à chaud qu'il n'était donc plus besoin d'une offre élargie (EELV, FdG) et les écologistes décidaient de négocier sans plus attendre les sinécures révées (députations et sans doute ministères). Voilà qui provoquait la grogne des "communistes" du Front de Gauchedevant les impertinences d'estrade de Mélenchon, comment négocier la re-élection de leurs députés, maires, conseillers généraux avec un "capitaine de pédalo" ? D'autant que Mélenchon en resterait quand à lui au régime de "la bouée canard" dans les sondages. Et ce n'était pas les déclarations "atlantistes" (ONU, OTAN) de leur propre candidat sur la Libye qui pouvait mettre du baume au coeur. Et c'est donc sans attendre le premier tour de l'élection territoriale les appels à voter pour François Hollande se multiplient avec plus ou mois de coquetterie, ainsi le NPA votera contre Sarkozy, etc .. |