Election à la Presidence du territoire français de l'Union européenne.

Publié le par DAN

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CHRONIQUE DES ELECTIONS TERRITORIALES FRANCAISES (I).

L'élection à la Présidence du territoire français de l'Union européenne ne manque pas de rebondissements, de quoi mettre en valeur l'art des politologues et même des amuseurs sévissant à part égale sur les médias Tv.

Echaudé par 2002 et pour ne pas à plus avoir à organiser de débats politique, le Parti socialiste avait donc abandonné le choix de son candidat à une "sous farce électorale",une sorte de piège à cons spécialisé pour la Gôche. Les sondages confirmaient à chaud qu'il n'était donc plus besoin d'une offre élargie (EELV, FdG) et les écologistes décidaient de négocier sans plus attendre les sinécures révées (députations et sans doute ministères).

Voilà qui provoquait la grogne des "communistes" du Front de Gauchedevant les impertinences d'estrade de Mélenchon, comment négocier la re-élection de leurs députés, maires, conseillers généraux avec un "capitaine de pédalo" ? D'autant que Mélenchon en resterait quand à lui au régime de "la bouée canard" dans les sondages. Et ce n'était pas les déclarations "atlantistes" (ONU, OTAN) de leur propre candidat sur la Libye qui pouvait mettre du baume au coeur.

Et c'est donc sans attendre le premier tour de l'élection territoriale les appels à voter pour François Hollande se multiplient avec plus ou mois de coquetterie, ainsi le NPA votera contre Sarkozy, etc ..

A l'UMP se multiplient les déclarations visant davantage à satisfaire l'idéologie néo-libérale que l'économie comme le travail qui serait exigé des bénéficiaires du RSA et dont on peut imaginer sans peine les coûts induits par de tels chantiers (encadrement, suivi, adaptation aux postes, voir adaptation des postes pour les bénéficiaires atteints de quelques handicaps et que la législation sur les discriminations ne permettent pas d'écarter, etc ..). Ou de manière plus ridicule encore, et donc la déclaration est à mettre au crédit de l'actuel résident de l'Elysée, sur le vote des étrangers, et qui ne peut viser que les doubles nationalitaires comme A. Klarsfeld qu'il vient de nommer à un poste officiel, ou le terroriste (franco-)israelien récemment libéré par la résistance palestinienne à grand renfort d'enthousiasme des médias franchouillards.  

Ailleurs l'éventuel reclassement est à l'oeuvre, la presse découvre des politesses rocardiennes (sans parler des cousinages) à quelques personnalités. Ainsi la très "rocardienne" Présidente du Medef, acquise à une dérégulation de l'immigration, et bien d'autres aussi qui ne devrait pas choquer cette "gôche" initiatrice du Traité de Lisbonne, cohérence que seule J. Lang assumera jusqu'au bout en votant, à l'aimable sollicitation du Résident de l'Elysée, l'adoption du Traité. 
 

Vote des étrangers :

quitter l'Union européenne ? 

"Les citoyens de l'Union européenne résidant en France peuvent participer aux élections municipales et/ou européennes dans les mêmes conditions que les électeurs français, sous certaines réserves.

Sont considérés comme résidant en France les citoyens de l'Union européenne qui y ont leur domicile réel ou qui y résident de façon continue." (Source gouvernementale ..)

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